Compte-rendu 2016/11 : samedi 30 et dimanche 31 janvier 2016

Pluie et gadoue.

Pas question, vu l’état du terrain, d’utiliser un tracteur pour sortir les 5 remorques vides qui entourent le bûcher. Une seule solution : les écarter quelque peu du bûcher à la force des bras, pour y accéder aisément. Et on y parvient ! D’abord l’épandeur, réputé imbougeable : moyennant quelques astuces on le déplace de quelques mètres, faisant rouler sa roue jockey sur des morceaux de poutrelles. Puis on passe à la benne (qui n’a pas de roue jockey ): on essaie, en posant son pied de timon sur une palette, de la tracter à l’aide de cordes ; mais rien n’y fait, l’engin ne bouge pas d’un poil ! On abandonne la manœuvre. Pour les plateaux à quatre roues, comme prévu, on y arrive sans trop de peine.

Il faut ensuite fabriquer l’échelle en bois à adosser au bûcher. On choisit dans notre réserve deux tronçons de troncs pas trop gros. On décide, après leur avoir donné la longueur voulue et y avoir pratiqué des entailles destinées à recevoir les échelons, de les dresser un à un et d’y poser ensuite les échelons. A l’aide d’une poulie attachée au mât central et d’une corde, on parvient aisément à dresser les deux montants tout en les maintenant à l’aide d’une seconde corde, les empêchant de partir sur les côtés. Il ne reste plus alors qu’à poser et fixer les échelons.

A midi, nous sommes tellement trempés et crottés que nous quittons le site sans même boire un coup ! Après s’être changés, certains rappliquent pourtant chez Christine pour se réchauffer au vin chaud.

Après-midi, on arrange un peu le bûcher, on rehausse son sommet d’1/2 mètre, on place et fixe la palette destinée à recevoir le « Blanc » au sommet et on fixe un premier sapin derrière le mât. Mais, comme certains préfèrent ne pas travailler au sommet (vertige ?), on décide d’attendre Jonas la semaine prochaine pour continuer.

Le lendemain, dimanche 31 janvier, rendez-vous au Carnaval du Dragon à Emines. Première sortie officielle des « nouveaux » avec la Corpo. A l’occasion de l’habillage, on constate une réelle différence de taille et de corpulence entre eux et les « anciens ».

Retrouvailles donc avec les preux Chevaliers, leur Dragon  et tous les autres. Eux, ce sont les spécialistes du bûcher à base carrée, symbolisant probablement leur tour de château-fort. Après un cortège de géants, gentes dames, écoliers, fanfares, régiments d’un autre siècle, drapeaux voltigeurs et autres échasseurs, viennent les spectacles sons et lumières, feux d’artifice et autres et enfin la mise à feu du bûcher par Fashoom et les archers.

Quelques chopes, quelques hamburgers et beaucoup de bonne humeur et on rentre à Liernu, contents d’avoir revu tant de vieilles connaissances, amoureuses, comme nous, de folklore.

Photos, film : Christine, Jean-Luc.

Compte-rendu 2016/11

Compte-rendu 2016/10 : samedi 23 janvier 2016

Acteurs du jour : Christine, Colombine, Cécile, Rudy, Richard, Jonas, Aurélien, Bruno, Matthias, Antonin, Cédric, Camille, Lory, Jean-Luc, Louis.

Photos, caméra : Christine, Jean-Luc.

Météo : 1er jour de dégel : c’est la même neige que samedi passé mais elle a un peu fondu ; et la même gadoue ; donc, les gants vont vite être mouillés et on réinstalle les deux braséros improvisés.

Hier vendredi (il gelait encore), Nicole et Louis ont rapatrié, avec le tracteur de Jean-Luc, toutes les remorques encore chargées : 2 plateaux et l’épandeur de la forière, le plateau resté chez Bruno et la benne de Jean-Luc ; cela fait 5 charrées bien disposées contre le bûcher.

Première opération : on tente de redresser quelque peu le mât central en l’arc-boutant à l’aide d’un poussard lui-même fixé à l’un des mâtons ; mais cela s’avère quasi impossible vu que la hauteur du bûcher dépasse déjà le sommet des mâtons. On se résout donc à enfoncer des rondins autour du mât et à enserrer le tout à l’aide de cordes pour renforcer la stabilité de ce dernier.

Puis on commence le déchargement des différentes charrées : vu l’équipe toujours bien nombreuse et  dynamique et vu que le bûcher doit se rétrécir de plus en plus, la hauteur d’environ 7 mètres (soit 3,5 brunos) est atteinte lorsque les remorques sont vides, en fin de journée.

Après un petit coup, chacun regagne ses pénates, heureux d’avoir pratiquement terminé le gros du bûcher. Pour certains, c’est alors le plongeon dans le monde bruyant et rythmé des capitaines et autres moussaillons d’eau douce ou salée, des ports bretons et de Semois, avec le concert grandleezien de Cré Tonnerre.

Compte-rendu 2016/10

Compte-rendu 2016/9 : samedi 16 janvier 2016

Le point ce samedi matin: 2 charrées ont été déchargées ; 3 charrées près du bûcher, à décharger ; 3 charrées attendent à la forière ; 1 à la ferme : 2 charrées « remorques voiture » rue Basse-Baive ; terrain du site très humide et enneigé, impraticable pour les tracteurs, à moins de le transformer en bourbier.

Donc : pas le choix, ont décharge les 3 charrées au bûcher. Après avoir installé deux braséros, on se met au travail. Nous sommes une bonne douzaine, le travail avance vite et le bûcher grandit rapidement. Mais tous les branchages sont imbibés d’eau et il faut régulièrement se sécher aux braséros, changer de gants et, tant qu’à faire, ne pas se laisser déshydrater de l’intérieur !

A midi, les cloches de l’église ont beau sonner et le sacristain faire de grands gestes, on continue encore pendant 20 minutes. Puis, on est quand même content de rentrer dîner et de  changer de chaussures.

Après-midi on termine le travail et, comme le soleil se couche déjà un peu plus tard que les derniers samedis, on a le temps de rapatrier une des petites charrées. On en balance le contenu par-dessus le mur, après y avoir déployé la bâche habituelle. Puis on traîne cette bâche, avec son contenu,  jusqu’au bûcher. Le soleil se couche, on replie la bâche, on rassemble le matériel, on boit un coup et à samedi prochain.

Certains se retrouvent chez Marc, devant une bonne bière et quelques petits poissons, entre l’huile et les aromates.

Bilan de cette journée : bon travail, un peu pénible vu la neige et la gadoue mais agréable vu l’importance de l’équipe : Christine, Colombine, Jonas, Aurélien, Matthias, Bruno, Richard, Marc, Camille, Rudy, Lory,  Louis, Jean-Luc. On espère avoir un peu de gel dans la semaine qui vient pour sortir les remorques vides et amener les pleines au bûcher.

Photos : Christine, Jean-Luc

Un souci cependant : en cours de journée, un grand « crac » s’est fait entendre de l’intérieur du bûcher. Il s’agit très probablement de la rupture d’un des pieds du trépied. Du coup, le mât central a perdu un peu de sa verticalité : il faudra samedi, prochain trouver un moyen pour tenter de le redresser ou, du moins, empêcher que sa situation ne s’aggrave.

Compte-rendu 2016/9

Compte rendu 2016/8 : samedi 09 janvier 2016

Comme prévu et annoncé par un « toutes boîtes » sur Liernu et Saint-Germain, c’était donc la journée du grand ramassage des sapins de Noël et petites quantités.

A 10 heures formation des équipes et répartition du matériel pour ramassage sur Liernu.

  • vers les Baives : Christine, Camille, Rudy, Richard, Louis avec tracteur Jean-Luc et plateau Jean-François ; voiture Louis avec remorque Richard. En plus des sapins, on charge un tas près du Calvaire et un tas chez Christine. Charrée complète, on ne prend pas le tas rue du Gros Chêne, il sera collecté mardi par Nicole et Louis.
  • vers l’autre côté : Marc, Jonas, Aurélien, Matthias, Bruno, avec tracteur et épandeur de Marc ; voiture Marc avec remorque Louis. En plus des sapins : un tas à la Siroperie, deux autres à la Maladrie, un autre au Pré Saint Jean dont on ne prend qu’une partie ; le reste sera pris mardi par Nicole et Louis.

Plateau et épandeur, chargés, sont conduits à la forière, une remorque voiture chez Louis. Pause au vin chaud à midi, sur le parking, au soleil bienfaisant ; Jean-Luc est là.

A 14 heures 15’ rebelote pour ramassage sur Saint Germain.

  • la bande du matin avec en plus : Stéphane, petit Marc, Simon et un ami hollandais de Christine. Avec : tracteur J.-L. et sa benne, tracteur Marc et plateau Pierre , voiture Louis avec remorque Richard, voiture Marc avec remorque Louis. Les tracteurs parcourent les rues principales, les voitures les rues secondaires, plus difficiles. En plus des sapins : un tas route de Perwez, un autre à Libut, un autre rue Montulet : c’est à ce dernier point que tout le monde et tout le charroi convergent en fin d’après-midi.

Le plateau chargé est conduit à la forière, la benne près de la ferme, une remorque voiture chez Louis. On n’a pas pris le petit tas (en partie d’épineux) dans un jardin de Libut ;  Nicole et Louis s’en chargeront mardi.

On se retrouve (presque) tous, comme de tradition, chez notre ami Marcel, rue Montulet : petits cadeaux ; Leffe et Eau de Villée artisanale. Nicole et Jean-Luc nous y rejoignent. Puis : souper chez Marc et Hélène.

Conclusion : 4 grosses charrées récoltées et 2 petites. Quand va-t-il faire suffisamment sec ou quand va-t-il geler afin de pouvoir les conduire au bûcher ?

Photos : Christine.

Compte-rendu 2016/8

Compte-rendu 2016/7 : samedi 2 janvier 2016

En ce lendemain de nouvel an, la moyenne d’âge est sensiblement plus élevée que la dernière fois ! C’est à croire que plus on vieillit mieux on résiste aux festivités et autres libations.

Quoi qu’il en soit, d’abord à deux, puis à trois et enfin à quatre on arrive à décharger deux des cinq charrées présentes sur le site. On a ainsi au moins commencé le bûcher et je trouve qu’il présente déjà un fier aspect.

A la pause de seize heures, on décide quand même qu’il est temps de rentrer se reposer !

Etaient présents (matin et/ou après-midi) : Rudy, Camille, Richard, Louis.

Pas de photo le jour-même mais l’état du bûcher sera photographié quelques jours plus tard par Jean-Luc.

Compte-rendu 2016/6 : lundi 28 décembre 2015

C’est une tradition à la Corpo, on procède à l’érection du mât central et à la structure du futur bûcher le 28 décembre, jour des Saint Innocents.

Cette année, temps magnifique, prairie (presque) sèche et équipe jeune (en partie) et motivée.

On commence par enlever les vestiges du Grand Feu précédent : reste de l’ancien mât, en partie calciné, enfoncé de 1,5 mètres et callé entre pierres et rondins ; ce n’est déjà pas de tout repos !

Puis on amène la charrée chargée samedi (26 décembre) des divers tronçons ; on les décharge, sauf le plus long, qui fait 12,5 mètres et est destiné à devenir le nouveau mât central. On l’amène, toujours sur le plateau, à proximité immédiate du trou qu’occupait l’ancien mât. On le fait pivoter sur le plateau, de manière à présenter son pied à l’arrière de celui-ci et juste au-dessus du trou (bien sûr, il faut un bon chauffeur !!) On l’enchaîne alors au plateau pour qu’il ne puisse retomber et on accroche à 2/3 de sa future hauteur 4 cordes qui serviront également à le maintenir vertical.

On soulève ensuite sa tête, à l’épaule (ça, c’est pour les jeunes costauds) ce qui lui donne une position oblique, le pied en partie dans le trou et en appui sur l’arrière de la remorque. On n’a plus alors qu’à reculer l’engin centimètre par centimètre tout en guidant le pied, à la masse, vers le fond du trou tandis que les 4 hommes aux cordes tentent de maintenir le mât vertical.

Lorsque cette position est atteinte, le mât, toujours enchaîné à la remorque et maintenu vertical par les cordes, est rapidement stabilisé par l’enfoncement de pieux pointus. On peut alors le détacher de la remorque mais on maintient encore les quatre cordes pour parfaire sa verticalité jusqu’au placement d’un large trépied (cette année à quatre pieds !) qui le stabilise définitivement.

Il reste alors à déterminer, avec le mât pour centre, un hexagone de 3 mètres de rayon (et donc également de côté) et à enfoncer, à chacun de ses sommets, un « mâton » d’environ 3 mètres, ce qui délimitera le pourtour du futur bûcher. A chacun de ces mâtons, on arcboute un « poussard » destiné à contrer la pression exercée par le bûcher. Le tout, ainsi que le trépied, est fixé à l’aide de grandes vis.

Ceux qui n’auraient pas compris la manœuvre, pourront s’en référer aux photos.

Quoiqu’il en soit, tout cela est terminé aux environs de 13h. 00.

Pour l’après-midi, on décide d’aller charger la remorque-plateau, désormais vide, chez Pierre, à proximité. On se donne donc rendez-vous à 15 h.00 près du ruisseau où se trouvent plusieurs tas de branchages plutôt rébarbatifs à manipuler, ce ne sont pas des branches de sapins. Mais vu notre nombre, l’affaire est rapidement faite et la charrée amenée sur le site avant que le soir ne tombe. On décide de profiter de la relative sécheresse du terrain pour y amener aussi les 4 charrées de branchages en attente à la forière. Il fait nuit noire quand on termine cette opération ; mais 5 charrées sont maintenant prêtes à être déchargées au bûcher.

Etaient présents sur le site ce lundi 28 décembre : Christine, Marc, Samuel, Jonas, Camille, Richard, Rudi, Stéphane, Marc, Maxime, Jean-Benoît, Louis ; apparition de Jean-Luc, Vincent.

Photos : Christine, Jean-Luc.

Comme dans tout village gaulois qui se respecte, la journée se termine par un grand festin qui rassemble tout le monde : le traditionnel souper de la Corporation.

Compte-rendu 2016/6

Compte-rendu 2016/5 : samedi 26 décembre 2015

Lendemain de Noël un peu difficile pour certains, sol plutôt boueux dans la prairie aux moutons chez Marie-Elise.

C’est pourtant là que nous avions à rassembler et charger sur une remorque-plateau les tronçons de troncs de sapins destinés à la structure du futur bûcher. Certains furent portés à l’épaule ou tirés à l’aide de cordes ; mais quelques-uns faisaient plus de 10 mètres (12,50 m. pour le plus long) et le sol était spongieux et les godasses s’enfonçaient et le souffle manquait. On décida donc d’aller chercher mon M.F. 135 qui a de nouveaux pneus : ce n’était pas l’idéal pour la prairie mais c’était quand même moins fatigant !

Après quelques ruptures de cordes, tout était rassemblé ; mais il fallait encore les charger sur la remorque-plateau : là aussi, mon petit tracteur et quelques chaînes  furent les bienvenus.

Finalement, l’imposant chargement, bien arrimé, pouvait prendre la route en direction du site du futur bûcher. On décida cependant d’attendre deux journées de temps plus sec, jusqu’à lundi, pour l’acheminer jusqu’à destination finale afin de ne pas abîmer le sol de la prairie.

On estima ensuite que, pour un lendemain de Noël, on en avait assez fait ; pause un peu plus longue et chacun rentre chez soi, il est environ 13h.30.

Etaient présents ce samedi 26 décembre : Camille, Richard, Marc, Rudi, Louis.

Pas de photos.

Compte-rendu 2016/3 : samedi 12 décembre 2015

On craignait le pire au niveau météo vu le déluge d’hier, avec le Père Noël et la tartiflette. Mais pas une goutte de pluie de toute la journée !

La journée s’est d’ailleurs passée entièrement chez Marie-Elise et Bruno : il restait beaucoup de boulot, désespérément beaucoup de boulot ! Mais l’équipe était aussi nombreuse et motivée (et jeune) que la semaine passée ! Alors, lorsque le soleil s’est couché tout était pratiquement terminé. (Et pourtant, il s’est couché plus tôt qu’il ne l’avait jamais fait et qu’il ne le fera jamais plus cette année.)

Tronçonneurs, grimpeurs, tireurs à la corde, élagueurs, ramasseurs et transporteurs de branches et de rondins, arrangeurs de charrées, conducteur de tracteur, cantinière … et photographe s’en sont donné à cœur joie jusqu’à la nuit noire.

Une méthode d’abattage imaginée par un ingénieux de l’équipe a permis de laisser (presqu’) intactes les clôtures.

Une charrée (très haute mais un peu large !) a été conduite à la forière. Une seconde a été commencée ; elle sera complétée un autre samedi, peut-être chez Jacques, à proximité, rue Haute-Baive.

Bilan : chantier terminé au niveau ramassage des branchages pour le bûcher ; il reste à transporter les tronçons prévus pour la structure, ce qui devrait être fait le samedi 26 décembre prochain, lendemain de la Noël.

En effet, samedi prochain, 19 décembre, la Corpo fait relâche et attend tous ses travailleurs, à partir de 11 h., à Namur, pour prendre un pain-saucisse et un verre (ou un vin chaud) à la traditionnelle crèche vivante organisée par les agriculteurs (rue de Bavière, entre le Théâtre et la Place d’Armes).

Etaient présents ce samedi 12 décembre (matin et/ou après-midi) : Christine, Bruno, Aurélien, Antonin, Matthias, Marc, Jonas, Rudy, Stéphane, Camille, Richard, Jean-Luc, Maxime, Pascal, Louis.

Photos : Christine

Compte-rendu 2016/3

Compte-rendu 2016/2 : samedi 05 décembre 2015

Comme prévu de longue date, la Corpo s’est donc occupée des quelques grands sapins en situation plutôt délicate de Jacques, route de Perwez.

Le rendez-vous était fixé à 9h. et, s’ils n’étaient pas tous là à l’heure, les membres de l’équipe étaient particulièrement nombreux ce jour (voir ci-dessous). En plus du Zétor et d’une remorque de Pierre, il y avait un bon tronçonneur et une nacelle (avec chauffeur).

Pour midi et demi, tout étaient fait : les sapins coupés et ébranchés, les branches chargées, les troncs en partie sélectionnés pour la structure du bûcher, le reste découpés en tronçons de 50 cms, le sol soufflé et le pneu de la remorque regonflé. Pause « coupe-soif » et apéro de Marie-Louise. Les tronçons retenus sont acheminés vers le site du bûcher et balancés par-dessus le mur ; ceux découpés en 50 cms seront transportés lundi chez Camille.

Après midi (mais une partie de l’équipe y était déjà en fin de matinée), on se retrouve chez Marie-Elise et Bruno : Le chargement inachevé de la remorque de la semaine passée est complété et le tout acheminé à la forière. Une seconde remorque de Pierre est en partie chargée, après quelques difficultés d’acheminement (un Zétor 50 cv, c’est pas un Same 200 cv !). Pause réconfortante de Marie-Elise.

Etaient au travail ce jour (avant et/ou après-midi) : Christine, Nicole, Colombine (honneur aux dames), Jacques, Pascal (et sa compétence), Willy (et son bull-nacelle), Marc, Samuel, Jonas, Camille, Richard, Aurélien, Antonin, Matthias, Bruno, Arno, Xavier, Jean-Luc, Louis.

Photos : Christine, Jean-Luc. N.B. Les photos tardent à venir mais ça arrive !

Conclusion de cette journée : très bon travail, bonne météo, et surtout équipe formidable avec moyenne d’âge en chute libre (qui veut faire le calcul ?) et qui présage bien de l’avenir et de la relève de la Corpo. Continuons !

Compte-rendu 2016/2