Au boulot : Camille, Christine, Jean-Luc, Jonas, Jérôme D., Jérôme H., Louis, Marc D., Marc R., Michel, Rudy, Stéphane, Tom, une amie de Michel.
Matériel : Same, toutes les remorques, fourches, caravane.
Temps : magnifique, printanier ;
Michel a maintenant, semble-t-il, compris qu’il doit venir, chaque samedi, avec la caravane ! Elle est très pratique pour les pauses et le stockage des denrées nécessaires à ces pauses. Elle est donc garée sur la place, le drapeau de la Corpo flottant par-dessus. Euh… non, pas flottant : il n’y a pas de vent !
Le matin, on termine donc, presque, le déchargement des charrées se trouvant au bûcher : certaines chargées de belles branches de sapin, d’autres de « crasses » : épines, végétaux pourris, planches à moitié décomposées, …
Vers 11h.30 pause à la caravane. On reprend le travail jusqu’à midi 30, puis nouvelle pause. Il est décrété que le terrain est suffisamment séché pour sortir les remorques vides et amener de nouvelles charrées.
Reprises du travail à 14h.15. Comme prévu (et malgré que le pré n’est pas encore tellement sec), on (Louis, Michel) évacue les remorques vides : l’une est placée près du tourniquet pour permettre le chargement (Arnaud, Tom) des bûches du peuplier.
On installe trois autres charrées près du bûcher ; et le travail de fourmis peut reprendre au bûcher, interrompu d’une petite pause où nous faisons la connaissance d’une mystérieuse, mais néanmoins sympathique, amie de Michel ; qui nous prête ensuite main forte au bûcher. Nouvelle recrue ?
En soirée, une partie de ce beau monde (Jean-Luc, Louis, Marc, accompagnés de Nicole et Marie-Jeanne) se retrouve au grandiose Grand Feu de Hanret. Soirée qui se termine au « Douroum », puis, le Café des Sports étant fermé, dans un tonitruant … (j’ai oublié le mot) : Aie mes oreilles !
Ah oui ! c’est un « car à hoquets » !