Personnel : Bruno, Camille, Cécile, Christine, Jean-Luc, Jonas, Louis, Marc D., Marc R., Mathieu, Rudy.
Mathieu amène sa charrée d’élagage de haie que l’on dispose au pied du bûcher, à l’arrière ; sur la face avant, on pose une grande partie des sapins de Noël. On en place également pour boucher les trous apparents ; et surtout, Jonas et Mathieu en garnissent la pointe du bûcher, là où ira se nicher le « Blanc ».
Pendant ce temps-là l’échelle se fabrique, au sol. On est allé chercher, chez Jean, à la Maladrie, deux troncs assez longs, solides et plus ou moins droits ; mais cela ne suffit pas, ils font à peine la moitié de la hauteur voulue (pardon, de la longueur, hein, Marc). Il faut donc y ajouter quelques pièces amenées sur place antérieurement. Notre échelle est donc finalement assez longue mais en plusieurs morceaux vissés ensemble. Et elle est toujours au sol.
Il faut maintenant la redresser ! A la première tentative de soulèvement, on se rend compte qu’elle est très lourde et très flexible ; et puis crac : l’un des montant se brise. Il faut donc la rafistoler en y refixant un segment de tronc en plus ; encore plus lourde !
Enfin, à l’aide de cordes et d’échelles (en alu), certains poussant au sol et Jonas tirant du sommet au risque d’être déséquilibré, on parvient à l’avoir oblique … verticale … oui, elle va s’appuyer au bûcher… mais attention ! elle part vers la gauche, … tire, tire très fort, Cécile ! Baf, elle se plaque au bûcher, mais vachement pas au milieu ! Le sommet est bien à deux mètres trop à gauche par rapport à l’emplacement prévu pour le « Blanc ».
Il ne reste plus qu’à la tirer vers la droite ; mais elle s’accroche aux branchages, il faut la décoller ; mais pas trop, sinon elle retombe ! Après bien des efforts, on parvient à avoir le sommet de l’échelle au bon endroit ; mais plus bas, ça n’a pas suivi : dans sa flexibilité, elle a préféré se plier, se tordre.
Mais elle restera ainsi, avec son air d’échelle de hobbit.