Au boulot : voir les photos.
Temps : toujours printanier.
On continue et achève le bûcher : on décharge tout ce qui reste sur les remorques ; en haut du bûcher, on dispose une grande partie des sapins de Noël et quelques palettes pour constituer le « nid » du Blanc, le tout bien arrimé au mât central à l’aide de fils.
On déplace, à la main, une remorque vide pour faire place à la future échelle.
Pour la construction de celle-ci, on amène deux longues perches (des troncs de sapins) que l’on dresse contre le bûcher, face à la salle ; puis on y fixe, à l’aide de longues vis, les échelons, au fur et à mesure de la montée.
Pour le soir, tout est terminé sauf qu’il reste à peaufiner la garniture du bûcher. Heureusement, François L. amène une dernière charrée de belles branches de sapins ; elles seront placées samedi prochain.
J’oubliais les pauses : comme c’est devenu une habitude, plusieurs pauses dans la caravane, devant l’église. Cerise sur le gâteau : Michel lui a confectionné une plaque d’immatriculation plus vraie que nature : voir les photos.