(Christine, Marc, Vlad, Richard, Camille, Louis, Max, Colombine, Lory, Jean-Luc, Samuel. Jonas, Mathieu et trois scouts en visite en fin de journée)
Les trois charrées encore en attente au non-rond-point ont été acheminées au bûcher durant la semaine et placées sur trois côtés de l’hexagone. La remorque métallique de Pierre, chargée en partie de palettes et de vieux déchets de bois a été conduite chez Louis. Les déchets ont été déchargés chez lui (pour le petit bûcher traditionnel).
Comme on est assez nombreux le matin, on entame, en deux équipes, les deux grosses charrées. Cela marche bien mais on n’a quand même pas fini pour midi.
A midi, pause vin chaud chez Richard et Jean-Marie.
Après-midi, la remorque métallique est amenée sur la Place et déchargée de ses palettes qui serviront de reposoir pour le « Blanc », le temps de sa condamnation.
Puis, on achève de décharger les deux grosses remorques et on entame la petite placée à l’arrière de bûcher.
Et pendant ce temps-là, le bûcher monte, se rétrécit quelque peu et monte, monte, … on arrive bientôt presqu’au sommet du mât central et les jeunes repiquent contre lui une perche de 2 ou 3 mètres pour l’allonger.
Vers 18 heures, le bûcher est déclaré assez haut et « terminé ». Pause !
La petite remorque n’est pas vide mais on brûlera le contenu restant après le Grand Feu.
Le combustible restant :
- Une trentaine de fagots de Mathieu (chez Raymond) seront acheminés durant la semaine de carnaval et répartis autour du bûcher,
- Le reste de branchages chez Jacques sera brûlé, probablement chez Louis, après le Grand Feu,
- Chez Tibaud, s’il le désire, le reste de branchages sera brûlé sur place et le reste des rondins emportés et répartis entre les membres qui les veulent.
- Le tas de branchages de Jean-Luc sera brûlé sur le site, après le Grand Feu.
Pour le bûcher, il reste à :
- Fabriquer l’échelle et la dresser,
- Aménager le sommet pour y recevoir le « Blanc » et le garnir de sapins.