Compte-rendu 10 : samedi 01 mars 2014

Au matin, au bûcher.
(Christine, Colombine, Camille, Richard, Marc, Simon, Maxime, Louis)

En semaine, l’échelle a été commencée : il reste les ¾ des échelons à fixer. Les remorques vides ont été rapatriées chez leurs propriétaires respectifs. (Simon, Brandon, Louis).

Raymond et Mathieu amènent une charrée de petits fagots.

L’échelle est achevée. A l’aide d’une poulie fixée au mât central, elle est dressée contre le bûcher, les uns poussant, les autres tirant, de l’autre côté du bûcher.

Ensuite, le sommet est aménagé : fixation d’une palette au mât central et à l’échelle, fixation de quelques sapins derrière celle-ci, complétant le « nid » destiné à recevoir le « Blanc ».

Pendant ce temps, le terrain est nettoyé et le bûcher quelque peu « toiletté ».

Il est bien 13h30 quant tout cela est fini. Pause près du brasero.

Après-midi, au Grand Feu d’Aische-en-refail.
(Christine, Camille, Louis, Richard, Marc, Maxime, Jean-Luc)

On retrouve nos « cousins » d’Aische et les autres d’Emines, Perwez, Vedrin, Lonzée, …

Cortège dans les rues, puis aux flambeaux, feu d’artifice, mise à feu du bûcher et brûlage de la sorcière. Puis restauration bien arrosée et soirée aux « Calbassîs ».

Pour certain, fin de soirée sur une chaise, dans les bras de Morphée…

Compte-rendu 9 : samedi 22 février 2014

(Christine, Marc, Vlad, Richard, Camille, Louis, Max, Colombine, Lory, Jean-Luc, Samuel. Jonas, Mathieu et trois scouts en visite en fin de journée)

Les trois charrées encore en attente au non-rond-point ont été acheminées au bûcher durant la semaine et placées sur trois côtés de l’hexagone. La remorque métallique de Pierre, chargée en partie de palettes et de vieux déchets de bois a été conduite chez Louis. Les déchets ont été déchargés chez lui (pour le petit bûcher traditionnel).

Comme on est assez nombreux le matin, on entame, en deux équipes, les deux grosses charrées. Cela marche bien mais on n’a quand même pas fini pour midi.

A midi, pause vin chaud chez Richard et Jean-Marie.

Après-midi, la remorque métallique est amenée sur la Place et déchargée de ses palettes qui serviront de reposoir pour le « Blanc », le temps de sa condamnation.

Puis, on achève de décharger les deux grosses remorques et on entame la petite placée à l’arrière de bûcher.

Et pendant ce temps-là, le bûcher monte, se rétrécit quelque peu et monte, monte, … on arrive bientôt presqu’au sommet du mât central et les jeunes repiquent contre lui une perche de 2 ou 3 mètres pour l’allonger.

Vers 18 heures, le bûcher est déclaré assez haut et « terminé ». Pause !

La petite remorque n’est pas vide mais on brûlera le contenu restant après le Grand Feu.

Le combustible restant :

  • Une trentaine de fagots de Mathieu (chez Raymond) seront acheminés durant la semaine de carnaval et répartis autour du bûcher,
  • Le reste de branchages chez Jacques sera brûlé, probablement chez Louis, après le Grand Feu,
  • Chez Tibaud, s’il le désire, le reste de branchages sera brûlé sur place et le reste des rondins emportés et répartis entre les membres qui les veulent.
  • Le tas de branchages de Jean-Luc sera brûlé sur le site, après le Grand Feu.

Pour le bûcher, il reste à :

  • Fabriquer l’échelle et la dresser,
  • Aménager le sommet pour y recevoir le « Blanc » et le garnir de sapins.

Compte-rendu 8 : samedi 15 février 2014

(Richard, Louis, Camille, Marc, Jean-Luc)

Le jour des vieux ! les jeunes étant, me dit-on, en retraite : mystique pour les uns, éthylique pour d’autres, bretonne même ; ou tout simplement dans les bras de Morphée !

Temps idéal cependant : pas de pluie, peu de vent, bonne température.

En semaine, la fameuse « remorque au froment » a été placée, vide, le long du mur, vers la Place, en vue de recevoir, éventuellement, par-dessus-le mur, le contenu des remorques chargées, (tout en espérant ne pas devoir en arriver là !). La benne, elle, a été déchargée près du bûcher, malgré le terrain peu praticable.

Le matin, à deux puis à trois,  on bourre au pied du bûcher les restes du chargement de la remorque précitée.

L’après-midi (on est 5) on amène au bûcher une des quatre charrées en attente au « non-rond-point », que l’on décharge sur le bûcher. Puis on monte également sur le bûcher le contenu de la benne qui a été déchargée au sol.

En fin de journée, on a quand même nettoyé le terrain et monté au bûcher le contenu de la benne et d’une remorque ! Pas si mal pour les 5 « vieux » !

Pour les 3 autres remorques, on attendra encore quelques jours, la météo étant plutôt clémente pour l’avenir immédiat. Elles seront placées et prêtes à être déchargées pour samedi prochain.

Compte-rendu 7 : samedi 08 et dimanche 09 février 2014

Samedi 08

(Christine, Camille, Richard, Arno, Pascal, Simon, Marc, Louis)

On consacre cette journée à l’ancienne propriété de Vinciane, rue Basse-Baive, 37 et 39, où il reste quatre sapins costauds à abattre dont un araucaria (désespoir des singes).

Pascal vient nous prêter main forte avec son expérience et une tronçonneuse plus adaptée, ainsi que Arno. A eux deux, ils mettent au sol les quatre mastodontes,  à nous de les ébrancher et charger sur un plateau emprunté à Laurent G.

Les troncs sont débités, en grande partie par Arno qui viendra achever le travail dimanche matin. Les rondins seront distribués aux amateurs.

Quand le soir tombe, la remorque est chargée à bloc et … va rejoindre les 5 autres charrées qui attendent une meteo plus clémente (plus  de sécheresse ou du gel) pour être conduites au pied du bûcher.

Mais combien de temps faudra-il encore attendre ? Ne faudra-il pas faire fi des conditions atmosphériques et de l’état du terrain et Y ALLER ? C’est à ce prix, cela est de plus en plus évident, que pourra être achevé notre bûcher.

Dimanche 09

(Christine, Sophie L., Sophie G., Camille, Richard, Simon, Brandon, Baptiste, Timothée, Louis).

Emines , Carnaval du Dragon, voir la presse.

On y retrouve nos vieux compagnons, en particulier les Chevaliers d’Emines et nos cousins, les Pierrots d’ Aische-en-Refail. Tient, ils ont recruté un déserteur (?) de Vedrin.

Très beaux cortège, captivant spectacle des Orryflammes, feu d’artifice parfait et, enfin, grands feux (un pour les grands, un pour les petits) très réussis.

Des contacts sont pris en vue de l’animation de nos cortèges et Grand Feu à nous, le samedi 08 mars prochain.

Espérons que, d’ici là, notre bûcher sera terminé !

Compte-rendu 6 : samedi 01 février 2014

(Christine, Camille, Richard, Louis, Jonas, Samuel, Tom, Timothée, Sophie, Passage de Jean-Luc et Max à midi et pour photo : N.D. de Sclessin de plus en plus exigeante !)

Travail au bûcher, ce samedi.

Plutôt décevant le matin : pluie intermittente, donc très peu de participants : 4 !

Le brasero apporté a peine à démarrer : le bois n’est pas sec, l’huile de vidange n’en est pas vraiment. Finalement avec la graisse à frite de Richard et un peu d’essence (2 temps) des tronçonneuses, il ne s’éteint plus. Quant à dire qu’il réchauffe !

Finalement, c’est encore en travaillant qu’on se réchauffe le mieux et, quand les cloches sonnent la pause de midi, on a quand même, à nous quatre, pas mal avancé.

Le vin chaud de Jean-Marie est le bienvenu après cette matinée de grisaille (tiens, là nous ne sommes plus 4 , mais 7 !!)

L’après-midi est heureusement plus clément : plus de pluie, 5 personnes en plus, le brasero brûle très bien ; trop bien pour mes gants qui se mettent à cramer !

Quand le soir tombe, le site est nettoyé (sauf le fond de la remorque qui est sur place) et le bûcher accuse une hauteur de 2,50 à 3 mètres.

Espérons que pour samedi prochain la météo nous aura permis d’acheminer les 5 charrées en attente.

Compte-rendu 5 : samedi 25 janvier 2014

(Vincent et épouse, Didier, Jacques, Christine, Camille, Richard, Louis, Simon, Marc, Jonas, Jean-Benoît, Etienne, Charly, Jean-Luc, Max, …)

Équipe très fournie aujourd’hui, la moyenne d’âge chute brusquement !

On commence chez Vincent, aux Trieux : une haie déjà coupée. Le plateau de Laurent est chargé en moins de ¾ d’heure; Mais il en reste : il faut dire qu’il y a des castars, parfois même encore avec les fils de la clôture.

Petite pause aux frais de Vincent (merci Vincent), puis le plateau chargé est conduit au non-rond-point.

Un deuxième plateau est prélevé chez Pierre et amené chez Didier où il est rempli à moitié. Comme convenu, Didier nous reçoit chaleureusement avec pizzas, quiches, soupe, bière, vin. (merci  Didier).

Puis on complète ce plateau chez Vincent. Pendant ce temps, un troisième plateau est amené de chez Paul, à Upigny. On le charge de sapins anciennement chez Berta, route de Perwez. Petite pause (merci les gars). Puis ces deux plateaux sont amenés au non-rond-point et … il reste du temps !

On prend donc la benne de Jean-Luc en espérant pouvoir la décharger dans le courant de la semaine. Et on va charger des têtes de sapins chez Jacques, à la Baive.

La benne est pleine lorsqu’il commence à faire sombre. Pause avec Jacques (merci Jacques).

Puis on rentre, rangement du matériel ; pause chez Richard et Jean-Marie. Tiens ! ceux d’Emines se sont décommandés.

Merci à tous, surtout aux jeunes pour cette belle journée de travail ! et aux prêteurs de matériel.

Puis, si je me souviens bien, pause chez Jean-Luc et Martine. Puis …vol au vent ; (merci) tiens, pas de frites ! délicieux quand même.

Compte-rendu 4 : samedi 18 janvier 2014

(Thierry, Marc, Richard, Jean-Marie, Jean-Pierre, Camille, Maxime, Louis)

Équipe un peu réduite, mais on s’en tire. Pour la semaine prochaine, on compte sur les jeunes !

On officie aujourd’hui au chalet, à la Haute-Baive, chez Dominique et Thierry.

On réussit à reculer la benne dans la trouée, entre les sapins. Dans le courant de la journée, on élargira cette trouée en coupant l’arbre gênant.

Toute la journée, on tronçonne, on coupe, on ébranche, on charge, on sue.

Une benne le matin, une benne l’après-midi.

A midi, nos hôtes nous servent une délicieuse soupe aux pois, avec des lardons ; avec chopes ou vin blanc. Jean-Luc vient faire quelques photos … de la pause !

Suite à l’échange de voitures, on ne trouve plus la bouteille de pecket ! Camille va benner la benne au bûcher, Louis va faire le plein d’essence à Didi. On repasse quand même prendre un vin chaud chez Richard.

Après-midi, Notre Dame de Sclessin appelle ses fidèles : donc, pas de Jean-Luc, pas de Maxime !

En fin de journée, on abat encore un sapin gênant en le faisant tomber en travers du chemin. On s’empresse de le débiter pour ne pas gêner trop longtemps la circulation puis on le charge. Puis on charge sur la remorque voiture les troncs et les rondins : une partie servira à la fabrication de l’échelle ou pour la structure du bûcher 2015 ; le reste, ce sera pour Camille qui se chauffe au bois.

Mais le soir tombe, on a tout juste fini.

Bennage, rangement du charroi, vin chaud bien mérité. A la semaine prochaine, à l’autre bout du village !

Compte-rendu 3 : samedi 11 janvier 2014

(Christine, Marc, Richard, Jean-Marie, Jonas, Camille, Jean-Luc, Maxime, Simon, Louis, Aurélien, Antonin)

Comme convenu, aujourd’hui, grand ramassage des sapins de Noël et des petites quantités.

Et comme il fallait s’y attendre, ce fut une petite (ou grande) histoire de remorques.

Il y avait là :.

– la benne Eugénie et son tracteur Sam (de Jean-Luc) ;

– la remorque Alu et sa Marie (de Jean-Marie) ;

– la remorque Sauterelle et le monospace Awe (l’une de Jean-Marie, l’autre de Marc) ;

– pour cause de désistement d’un chauffeur, la remorque Musicale (ou Chantante) (de Jean-Marie) avec la voiture Fog (de Louis) ont dû rester en plan sur le lieu du rendez-vous non sans arborer fièrement  le drapeau de la Corpo.

Outre ces convois , heu, qu’on voit souvent, deux plus petits modèles sont venus prêter mains fortes … ou plutôt roues fortes : il s’agit d’une toute petite remorque carrée tout juste conçue pour le transport de deux petits sapins (de Alain D.) attelée à la Rouche (de Camille). Mais la palme de la petitesse fut remportée par Claudine et sa petite charrette à deux roues conçue à l’origine pour être remorquée par un vélo ou une motorette. Et, malgré ses dimensions réduites, elle ne passe même pas par le sentier « Riga » !  Il a fallu la soulever à bras d’hommes et de femme pour la vider dans la remorque.  Encore une remorque !   Oui, cette remorque agricole à quatre roues (de Jean-Luc) était affrétée de l’autre côté du mur pour recevoir les petits branchages difficilement transportable autrement.

Petit concours : combien de roues ont roulé ce samedi 11 janvier au service de la Corpo ?

Quoiqu’il en soit, pour midi, Liernu était débarrassé de tous (?) ses vieux sapins de Noël et de bien d’autres choses ! y compris des fagots que Raymond avait fait faire à son petit-fils. Encore merci, Gérard, pour le pecket !

Après-midi, ce fut au tour de Saint-Germain. Comme il y a moins de maisons, on a même eu le temps de rendre visite à Marcel, lui offrir un petit cadeau et s’y désaltérer, comme c’est la tradition depuis de nombreuses années.

A la nuit tombée (elle tombe vite en cette saison !) petite soirée bière, fromage, charcuterie (merci Marc), chez Louis d’Aux Purnalîs.

Compte-rendu 2 : samedi 04 janvier 2014

(Christine, Marc, Richard, Jean-Marie, Jonas, Julien, Camille, Jean-Luc, Maxime, Simon, Louis)

Alors qu’il avait été prévu d’amener au bûcher, à l’aide du Ford et son chargeur frontal, le grand tas de bois se trouvant à 200 mètres du bûcher, on doit abandonner cette option, vu l’état très humide et boueux du terrain.

On décide donc de se concentrer sur les nombreux résineux, rue Basse-Baive, 39.

Tracteur et benne de Jean-Luc, tronçonneuses bien huilées et aiguisées, une très bonne équipe, une météo parfaite… tout cela entraîne une bonne ambiance et un travail efficace : avec Jonas qui grimpe comme un singe pour accrocher les cordes, les tronçonneuse qui ne se taisent pas une minutes et les chargeurs de branches et arrangeur de charrée qui transpirent des chemises, pour midi , quatre ou cinq grands sapins sont abattus, débranchés, débités et chargés.

A midi, pause, vin chaud traditionnel chez Richard et Jean-Marie.

Après-midi : rebelote, avec une équipe encore plus fournie. Jean-Luc et Maxime, qui ont quand même essayé avec le chargeur frontal et ont juste réussi à l’embourber, nous rejoignent, ainsi que Simon. On continue à couper et à charger la benne, jusqu’à en mettre autant au-dessus que dedans.

A 16 heures, on arrête : il faut corder la charrée, la conduire et la benner au bûcher avant qu’il fasse top sombre pour aller désembourber le Ford. Tout cela est fait et tandis qu’on range benne et tracteurs, une partie de l’équipe commence à entasser les branchages à la base du bûcher.

Il fait nuit lorsque l’on se retrouve (presque) tous chez Richard, aux vin chaud, bière, pain, fromages et saucissons excédents du nouvel an et …aux mots fléchés sur le thème : les céréales, avec Jean-Luc aux commandes !

Conclusion : très bonne journée. Et nous nous sommes attaqués à des arbres tels que je n’aurais jamais pensé oser le faire. MAIS …Jonas a travaillé avec le t-shirt qu’il venait de s’acheter la veille !!

Compte-rendu 1 : les préalables

Samedi 14 décembre 2013. Préparation du site, du sentier d’accès, redressage, astocage du mât encore debout, rescapé de l’an passé. En effet ce mât est jugé apte à encore servir cette année. Il n’y aura donc pas d’érection d’un nouveau mât. (Camille, Marc, Richard, Jean-Marie, Louis).

Mercredi 18 décembre. Placement de la clôture électrique (Nicole, Louis).

Samedi 27 décembre. (Camille, Marc, Christine, Laurent, Louis, Richard, Jean-Marie, Jean-Luc, Louis) Au matin : Abattage, rue Basse-Baive, de quelques sapins pour prélèvement de 6 matons, 6 poussards et le bras manquant du trépied. Vin chaud de Christine à midi.

Après-midi : Placement de ces éléments. Structure terminée, prête à recevoir le combustible.

Au soir : Souper de la Corporation, chez l’Pet à Aische-en-Refail.