Au boulot : Christine, Jérôme H., Jonas, Louis, Michel, Richard, Rudy, les propriétaires.
Matériel : Same, remorque de Pierre I., tronçonneuses.
Temps : sec la matinée ; pluie l’après-midi.
Une haie de vieux thuyas était à couper. Rudy et Jérôme aux tronçonneuses ; Christine et Jonas sur la remorque; les autres au transport jusqu’à la rue. Travail rondement mené, terminé en moins de 2 heures. Belle grosse charrée, conduite à la forrière. On est très bien reçus : boissons, cougnous.
Vu la pluie qui s’installe vers 13 heures, on ne travaille pas l’après-midi.
Et pendant c’temps-là, Camille prépare sa réception à Grand-Leez pour ses 60 ans.
Matériel: Zétor, remorque Jean-Luc, tracteur et remorque de Louis pour acheminement du matériel et accessoires, tronçonneuses.
Lieu : champ J.-L., jonction ouest des Baives, haie du sentier : élagage, abatage 2 arbres, chargement. Récupération de quelques buches pour Rudy et Aurélien.
Temps inespérément beau, température douce (au soleil).
Beau cortège, Harmonie de Jodoigne très bien, plusieurs chars, la plupart sonorisés : Aische, Saint-Germain, Emines, Géants de Perwez, notre char ; on déplore l’absence du Géant de Liernu. Nous étrennons le char des « Pirates des Caraïbes » des Jeunes de la Corporation ; il annonce le thème de la prochaine Saint-Jean, en juin prochain.
En conclusion : très belle journée, très belle fête. Tous ont assuré, qu’ils en soient ici remerciés : tous les membres de la Corporation, en particulier les Jeunes, tous les nombreux aidants, les invités d’alentour, la fanfare, les sonos, ceux qui ont prêté du matériel : tracteurs, remorques, projecteurs, tentes, ceux qui ont donné le combustible, la police, les pompiers … et tout le public. Tiens, pas d’incidents cette année !
Mais voyez plutôt les comptes-rendus photographiques. (de 2018/1 à 2018/15).
Rendez-vous à la Saint-Jean, le 23 juin prochain, avec les Pirates des Caraïbes.
Personnel : Bruno,Camille, Cécile, Christine, Jean-Luc, Jonas, Louis, Marc D., Marc R., Mathieu, Rudy.
Mathieu amène sa charrée d’élagage de haie que l’on dispose au pied du bûcher, à l’arrière ; sur la face avant, on pose une grande partie des sapins de Noël. On en place également pour boucher les trous apparents ; et surtout, Jonas et Mathieu en garnissent la pointe du bûcher, là où ira se nicher le « Blanc ».
Pendant ce temps-là l’échelle se fabrique, au sol. On est allé chercher, chez Jean, à la Maladrie, deux troncs assez longs, solides et plus ou moins droits ; mais cela ne suffit pas, ils font à peine la moitié de la hauteur voulue (pardon, de la longueur, hein, Marc). Il faut donc y ajouter quelques pièces amenées sur place antérieurement. Notre échelle est donc finalement assez longue mais en plusieurs morceaux vissés ensemble. Et elle est toujours au sol.
Il faut maintenant la redresser ! A la première tentative de soulèvement, on se rend compte qu’elle est très lourde et très flexible ; et puis crac : l’un des montant se brise. Il faut donc la rafistoler en y refixant un segment de tronc en plus ; encore plus lourde !
Enfin, à l’aide de cordes et d’échelles (en alu), certains poussant au sol et Jonas tirant du sommet au risque d’être déséquilibré, on parvient à l’avoir oblique … verticale … oui, elle va s’appuyer au bûcher… mais attention ! elle part vers la gauche, … tire, tire très fort, Cécile ! Baf, elle se plaque au bûcher, mais vachement pas au milieu ! Le sommet est bien à deux mètres trop à gauche par rapport à l’emplacement prévu pour le « Blanc ».
Il ne reste plus qu’à la tirer vers la droite ; mais elle s’accroche aux branchages, il faut la décoller ; mais pas trop, sinon elle retombe ! Après bien des efforts, on parvient à avoir le sommet de l’échelle au bon endroit ; mais plus bas, ça n’a pas suivi : dans sa flexibilité, elle a préféré se plier, se tordre.
Mais elle restera ainsi, avec son air d’échelle de hobbit.
Situation : il reste trois remorques à décharger au bûcher dont la haute, venant du Stampia.
Matin et après-midi : Grâce, comme toujours, à une bonne équipe et une météo relativement clémente, on empile tout cela sur le bûcher, Christine et Rudy à l’arrangement. Pour le soir, tout y est et le bûcher a pris une hauteur considérable. Il est pratiquement terminé ; et de plus, il est beau !
Situation : Le « Blanc » est fait (Mathieu). Terminé chez Jean O. : contenus de 2 remorques voiture amenés chez moi pour y prélever les branches nécessaires au garnissage du char (Louis, Nicole, Mathieu, Marc R.). Malgré l’état du terrain, la benne, chargée, a été amenée au bûcher, jeudi, et la remorque, vide, de Marc a été ramenée près de la ferme (Jean-Luc , Louis). Les autres remorques (vides) sont toujours au bûcher.
Matin : Vu le nombre des travailleurs, on décide de se répartir en deux équipes : la première (tracteur de Jean-Luc, remorque de Marc) vont charger rue Basse-Baive ; l’autre entreprend le déchargement de la benne, au bûcher. A midi, la benne est vide et la remorque chargée à la Baive est au bûcher.
Après-midi : deux équipes : une chez Jean-Luc avec la benne pour y charger (pour y charger quoi ? ben, de vieux sacs papier, des sacs de cordes, …). L’autre équipe décharge la remorque chargée le matin. Puis on décharge la benne, on la range, on éloigne toutes les remorques vides et on amène au bûcher deux des trois dernières charrées. Il reste un peu de clarté : on en décharge une partie. On amènera la dernière mardi (Nicole, Louis).
Matin : On entreprend courageusement le déchargement de ces 6 remorques ; c’est à dire, qu’on commence d’abord par deux de ces remorques : il s’agit, volontairement, des moins beaux et moins agréables matériaux ; à disposer tout en bas du bûcher. La plupart des sapins de Noël sont mis sur le côté, pour servir au garnissage. Mais très vite la pluie et surtout la neige se mettent à tomber ; et abondamment ! En fin de matinée, nous sommes tous, une fois de plus, percés jusqu’aux os !
Après-midi : La météo est un peu plus calme mais il continue quand même à tomber cette neige fondante et le sol est détrempé ; heureusement qu’il y a notre braséro improvisé. L’ambiance de travail est bonne ! Mathieu, qui est venu le matin, avec son tracteur et une remorque d’élagage de haie, entreprend de la monter au bûcher ; mais le tracteur patine et doit faire demi-tour ; ce sera pour une autre fois ! Au bûcher, en fin de journée, il reste une charrée complète et deux entamées. Une partie d’entre nous se proposent de revenir exceptionnellement quelques heures le lendemain, dimanche, après-midi.
Grace à cette météo beaucoup plus clémente et à la bonne ambiance, on parvient à tout terminer. Vers 17 h., on rentre. Camille, Louis se retrouvent chez Nicole ; frites de chez Fabienne.