Personnel : Aurélien, Bruno, Camille, Christine, Jacques, Jean-Benoît, Jean-Luc, Jérôme D., Jérôme H., Jonas, Louis, Marc D., Marc R., Mathieu, Michel, Rudy, Stéphane, Vincent.
Matériel : tracteur et remorque amenés par Jean-Benoît (d’Eghezée).
Matin et après-midi : On coupe, on élague, on charge des sapins chez Jacques. On récupère de quoi faire les mâtons, poussards et trépied que l’on amène près du site du bûcher ainsi que des buches que l’on amène chez Christine. On oublie de prélever des montants pour l’échelle. La remorque chargée (mais pas trop) est amenée sur la forrière. Elle pourrait-être complétée samedi prochain chez Christian B., Pré Saint-Jean.
Pauses de midi et du soir : on prend un verre chez Jacques et Mirella (pardon : on vide le frigo de Vincent).
Remarque : A certains moments, les branches volant très bas et les cordes n’étant plus de première solidité, on déplore quelques chutes et petits bobos ! Un effort sur la sécurité ne serait pas superflu.
Météo : un peu frais mais sec.
Vin chaud : Christine ; photos : Christine et Jean-Luc.
Personnel : Aurélien, Camille, Christine, Jean-Benoît, Jérôme D., Louis, Marc D., Mathieu, Michel, Perrine, Rudy.
Matériel : tracteur de Jean-Luc, remorque de Marc (avec timon et chalettes !), remorque de Jacques B.
Matin : Meux, rue Alvaux : il ne s’agit pas de belles branches de sapin mais de branchages coupés depuis longtemps et d’une vieille échelle. A midi, on se réchauffe chez Yvonne : Pecket, vin chaud, album photos et souvenirs.
Après-midi : Saint-Germain, rue E. Montulet (anciennement ferme Lorfèvre) : deux tas de branches de sapins et autres, plus toute fraîches ; pause : houppe, houppe et puis s’en vont … Il reste des palettes à prendre. Les deux charrées sont garées chez Camille.
Météo : sec.
On se retrouve chez Marc : chips, pêchons (pîchons), vin chaud, …
Pour cette première journée, nous avons à nettoyer la forrière de Jean-Luc, à l’arrière des jardins du début de la rue de la Blanchisserie (anciennement rue de la Vallée). Cette forrière est en effet envahie de jeunes arbres et arbustes.
Matériel : tracteur et deux remorques de Jean-Luc (remorques qui étaient déjà en partie chargées de l’hiver passé et de l’été dernier), tronçonneuses, corde, fourche, échelle, …
Le matin : Camille, Aurélien, Mathieu ; certains autres ont préféré se rendre à la distribution de plants et au petit déjeuner offert à l’Ecrin.
A midi : apéro vin chaud chez Christine.
Après-midi : Camille, Aurélien, Mathieu, Christine, Rudy, Michel, Stéphane, Marc R., Jean-Luc, Louis. Arrêt, pose photos, pause vin chaud à la tombée de la nuit, c’est-à- dire vers 17h.30 ! (on se croirait au cercle polaire !).
Bon travail accompli ; les deux remorque sont garées sur la forrière, en bordure de la rue de la Blanchisserie.
Vin chaud : Christine. Photos : Christine et Jean-Luc.
Météo : de saison, avec un peu de pluie, quelques flocons l’après-midi.
Les remorques vides ont été évacuées du bûcher, hier, par Bruno, Mathieu et Louis. La benne, contenant de belles grandes branches de sapins, a été déchargée au sol, près du bûcher. La dernière remorque chargée a également été ramenée de la Blanchisserie mais laissée à l’extérieur de la prairie : son chargement servira si nécessaire.
Le sommet actuel du bûcher présentant une forme arrondie, « en ballon », il paraît utile d’y poser d’abord quatre segments formant un cadre de 3 mètres de côté autour du mât, reliés entre eux et au mât, avant de continuer à entasser.
Dans l’entre-temps, les flancs et le pied du bûcher ont été garnis.
On monte ensuite tout ce qu’il reste de bois au sommet, ce qui augmente encore la hauteur d’un bon mètre. Puis, on refait un cadre autour du mât et on y fixe, à l’avant, deux palettes formant ainsi la plateforme devant accueillir le « Blanc » pour y être fixé et brûlé.
Pendant ce temps-là, en bas, l’échelle est en train de se fabriquer : deux grands segments, les futurs montants de l’échelle, ont été disposés au sol, perpendiculairement au bûcher et une trentaine d’échelons découpés. Ils sont fixés aux deux montants par de grandes vis, préalablement imbibées de graisse.
Quand le tout est fait, le poids de l’ensemble est (très) conséquent. Pas question donc de redresser le tout comme on le ferait d’une vulgaire échelle !
Mathieu, qui a fixé la plateforme et est toujours en haut, parce que les échelles en alu sont trop courtes pour lui permettre de descendre, accroche au mât une poulie dont la gorge est assez large pour y passer une grosse corde. Celle-ci est attachée à la tête de l’échelle toujours au sol et l’autre bout descendu à l’arrière du bûcher. La manœuvre de redressement de l’échelle peut commencer !
Alors, d’un côté, la tête de l’échelle est soulevée et de l’autre, on tire, on tire ; la tête se soulève, … de plus en plus, … l’échelle prend une position oblique,… va bientôt s’appuyer au bûcher, …y est presque, … mais se penche de plus en plus vers la droite et … patatras ! bascule le long du flanc du bûcher entraînant dans sa chute Camille qui a tenté de s’interposer et se retrouve au sol, avec l’échelle, après un spectaculaire cumulet !
Plus de peur que de mal ; en tout cas pour Camille qui s’en tire avec quelques douleurs et une petite blessure au coude ; mais l’échelle, elle, en tombant, a pris une drôle de forme oblique, les échelons n’étant fixés chacun que par une vis dans chaque montant.
On la replace donc au sol dans sa position initiale ; On re-tronçonne le bout des pieds pour qu’ils soient à la même hauteur (bon sang, mais c’est bien sûr !) et on réajuste l’horizontalité des échelons tout en adjoignant deux traverses obliques entre les montants.
Et on recommence la manœuvre de redressement. D’un côté, on pousse, de l’autre on tire. Mais cette fois, on a, de plus, prévu une corde et un « tireur » de chaque côté de l’échelle pour la maintenir dans le droit chemin.
Et, cette fois, tout se passe bien : l’échelle vient se plaquer au bûcher et son sommet arrive pile poil sur la plateforme fixée au mât. Mathieu fixe le tout et … peut redescendre.
Il était temps, car le soir tombe. C’est à peine si on peut encore prendre quelques photos de l’exploit accompli.
Étaient présents ce jour (matin et/ou après-midi, par ordre alphabétique) : Antonin, Bruno, Camille, Christine, Jérôme, Jérôme D., Jonas, Louis, Marc, Mathias, Mathieu, Michel, Nathalie, Richard, Rudy.
Une fois de plus, nous passons la journée au bûcher.
Il fait relativement beau mais quand même humide et pas très chaud ; on rallume donc notre fameux braséro ; encore beaucoup de fumée mais le contenu d’un verre à péquet d’essence 2T et ça va déjà beaucoup mieux.
Revenons au boulot. Il y a deux charrées et demie à décharger. Vu la hauteur du bûcher, on déploie 2 grandes échelles pour nous permettre de faire la chaîne. Tout se passe bien, toujours dans la bonne humeur, le bûcher se rétrécit quelque peu ; l’air de rien, on se rapproche du sommet du mât.
Lorsque les remorques sont vides, le soleil est couché depuis quelques minutes, il est environ 18 h.10 ; depuis le jour de l’érection du mât, on a gagné, le soir, 1 heure et 10 minutes de clarté !
Après le boulot, on se retrouve tous chez Rudy, devant un énorme cake au chocolat que nous ont préparé Maryline et Nathalie.
Etaient présents au travail (le matin et/ou l’après-midi, par ordre alphabétique) : Antonin, Bruno, Camille, Christine, Jean-Luc, Louis, Marc R., Mathieu, Richard, Rudy, Stéphane.
Nous passons courageusement notre journée au bûcher : quatre grosses charrées sont là qui nous attendent.
Nous clouons d’abord 6 perches sur les 6 mâtons, les prolongeant vers le haut, de façon à ce que, du bûcher, les emplacements des mâtons, donc le périmètre du bûcher, soient repérables.
Puis, en deux équipes, nous attaquons le déchargement. Certaines remorques sont chargées depuis plusieurs semaines et ce n’est pas toujours facile d’en extraire les branchages entremêlés. Et le temps n’est pas très clément : neige puis pluie, pas très chaud, gants imbibés d’eau et de boue ;
Nous rallumons donc notre braséro improvisé (en fait, l’intérieur d’une machine à laver) ; mais avec grande difficulté car tout est gorgé d’eau et il faut bien tout le savoir-faire des chefs patronnés (ou scouts ?) et 2 bidons d’huile de friture pour le faire prendre !
Après plus de fumée que de feu, les gants ne sont toujours pas secs. Et s’il n’y avait pas eu d’autres petits remontants, je ne suis pas sûr que nous aurions repris le travail. Mais nous nous y remettons et nous y revenons même l’après-midi. Le soir, il ne reste plus qu’une demi-charrée.
A midi et le soir, nous procédons, au chaud, chez Christine, à une séance d’essayage des cagoules et turluttes en prévision de notre participation, le lendemain, au Carnaval du Dragon à Emines.
Le lendemain donc, nous sommes nombreux à prendre la route, avec notre char et le tracteur de Jean-Luc, pour rejoindre là-bas, notre vieux copain Fashoom le Dragon et les valeureux Chevaliers qui l’ont apprivoisé.
Un peu étrange d’ailleurs ce qui s’est passé là-bas il y a très très très longtemps (ou il y a quelques années ?) : un méchant et terrible dragon cracheur de feu qui ruinait le pays et terrifiait les habitants s’est laissé attraper et est devenu très gentil : maintenant, il aide les Chevaliers à mettre le feu à leur bûcher en forme de tour car leurs archers sont trop maladroits pour y parvenir seuls.
Mais cela donne quand même un merveilleux carnaval, un cortège bigarré et tonitruant auquel prennent part plus de la moitié des habitants du village et de nombreux groupes venus de l’extérieur ; des jeux de lumières et de feux avec, en apothéose, un splendide feu d’artifice ; et bien sûr, tout se termine par le Grand Feu embrasé, comme on l’a dit, par les crachements incandescents de ce fabuleux Dragon.
Mais tout cela met-il réellement fin à l’hiver ? Pas sûr ! A mon avis, il faudra attendre pour cela le 4 mars prochain, à 20 heures.
Etaient présents au travail ce samedi 4 (matin et/ou après-midi, par ordre alphabétique) : Antonin, Aurélien, Camille, Cécile, Bruno, Christine, Jean-Benoît, Jonas, Louis, Mathieu, Richard, Rudy.
Photos : Christine, Jean-Luc.
Le dimanche 5, à Emines : en moins : Cécile, Jonas ; en plus : Marc D., Mathias.
N.B. Une remorque vide a été conduite mardi au 52 rue de la Blanchisserie pour y être chargée par l’habitant. Nous disposons d’une autre remorque vide pour la récolte de cette journée, du tracteur de Jean-Luc et des deux remorques voiture de Louis.
Rendez-vous à 10 h. au parking. Nous partons tous vers Saint-Germain : une équipe avec remorque et tracteur, chez Evelyne où il reste les branches et rondins d’un sapin ; l’autre équipe avec voiture et remorque récupère les rondins laissés au tennis et les dépose chez Camille.
On se retrouve chez Evelyne d’où les rondins sont également conduits chez Camille tandis que les autres emportent encore quelques branches de buissons chez Colombine. Pause « melocake ». Puis, chez un autre « client », route de Perwez, encore quelques vieilles poutres et planches à clous également déposées chez Camille. Ca va, tout le monde suit toujours ?
Apéro chez Christine, les véhicules garés sous le pont de l’autoroute.
Après-midi, tous rue Haute-Baive, à Liernu : avec voiture-remorque on prélève quelques belles branches chez Bruno qui sont amenées chez Louis pour servir de garniture au char ; tracteur et remorques chez Jacques ; il reste assez bien de matière à charger et quelques branches à tronçonner. Les rondins et perches assez longues sont chargés sur la petite remorque.
Après une pause assez longue chez Jacques, la charrée est complétée avec le reste de branches, chez Bruno et prend la direction de la forrière de Jean-Luc. Les perches sont conduites au pré du bûcher en vue de la confection de l’échelle et les autres rondins sont déchargés chez Christine.
Enfin, on va rechercher l’autre charrée rue de la Blanchisserie et on la dépose chez Pierre : dégel oblige, la forrière est devenue trop boueuse.
Pause finale chez Christine.
Présents ce jour (matin et/ou après-midi, par ordre alphabétique) : Antonin, Aurélien, Bruno, Camille, Christine, Colombine, Jacques, Jean-Luc, Jonas, Louis, Marc D., Mathieu, Rudy.
N.B. La veille, vendredi 20 janvier, toutes les remorques chargées qui ne s’y trouvaient pas encore ont été amenées au bûcher (Nicole, Louis avec le tracteur de Jean-Luc) (à l’exception de la benne), ce qui a pris toute la matinée. Cela fait, avec celle qui s’y trouvait déjà, 6 remorques à décharger.
Samedi matin, on s’est donc mis courageusement au travail de déchargement sur le bûcher qui faisait déjà, au départ, une hauteur de 2 mètres. Tout cela sous un beau soleil sur fond de neige qui décidément se plaît bien chez nous.
Pour midi, 3 remorques et demie étaient vides ; de nombreux sapins de Noël ont été mis sur le côté en vue de la garniture du bûcher et, surtout, de son sommet.
A 14 heures, le tracteur démarre. On dépose une remorque vide à l’entrée du pré, destinée à être conduite rue de la Blanchisserie chez un donateur qui la chargera lui-même. Puis, on s’ébranle vers Saint-Germain, à l’ancien tennis. Là, la quantité de branches de sapins est plus énorme que prévu et lorsqu’on se rend compte qu’une remorque ne suffira pas, on la décroche et on en ramène une seconde pour terminer le tas ; puis se rendre chez Camille, Coco et Lory. Là, abattage de quelques petits sapins et buissons et surtout du terrible « désespoir des singes » dont il faut empoigner les branches avec précautions tant les écailles sont acérées.
On passe ensuite compléter la charrée chez Evelyne. Mais le soleil terminant au même moment son boulot, on laisse sur place un second sapin pour la semaine prochaine. On ramène dare-dare la charrée au bûcher avant qu’il ne fasse trop sombre (pas d’éclairage sur la remorque) et toute l’équipe se retrouve chez Coco et Lory : friandises, Jupiler, Chimay, pecket, vin chaud, …
La remorque du tennis reste sur place et sera rapatriée mardi.
Au travail ce jour (matin et/ou après-midi, par ordre alphabétique) : Antonin, Camille, Christine, Colombine, Dominique, Jean-Benoît, Jean-Luc, Jérôme D., Jérôme, Jonas, Lory, Louis, Marc D., Mathieu, Maxime, Michel, Nathalie, Pascal, Richard, Rudy.
N.B. Une remorque chargée a été amenée dans le courant de la semaine par Bernard, de Meux.
Ce samedi, c’est donc le jour du traditionnel ramassage des vieux sapins de Noël (et autres). Un « toute- boîte » l’annonçant a été distribué un début de semaine, par Richard.
Le tracteur de Jean-Luc étant malencontreusement en panne, Jean-Benoît a fait appel à un fermier de Bolinne qui nous prête gentiment le sien. Nous recevons aussi de l’aide de Saint-Germain, demandée par Aurélien : Christian, avec voiture et remorque. Qu’ils en soient, tous, remerciés !
La matinée est consacrée au ramassage sur Liernu. Vers les Baives : le tracteur avec remorque (Jean-Benoît, Rudy, Michel, Matthias, Jérôme), assisté par voiture avec remorque (Louis, Richard). Petit embourbement à la ferme du Moulin. Vers l’autre partie du village : deux voitures avec remorques (Christian, Aurélien et Camille).
L’équipe avec tracteur reçoit une quantité importante à la Basse-Baive et une autre au Pré Saint-Jean où tout le monde se rejoint, juste avant midi ; sauf l’équipe de Christian et Aurélien qui sont déjà partis sur Saint-Germain !
L’après-midi : Saint-Germain. Tracteur avec remorque (Jean-Benoît, Rudy, Maxime, Matthias, Michel), route de Perwez et grosse quantité rue du Stampia et une autre rue Montulet, chez Pascal, sous une petite averse de neige. Les voitures avec remorques : Camille, Colombine et Jean-Luc, les rues à droite de la route de Perwez ; Louis, Richard, Bruno, Stéphane, Marc, les rues à gauche de cette route.
Les deux grosses remorques (celle du matin et celle de l’après-midi) sont stationnées à la forrière ; les sapins récoltés avec les voitures sont déposés sur les remorques, à la forrière et près de la ferme.
Marcel, souffrant, n’a malheureusement pas pu nous recevoir comme cela est devenu une tradition. On se retrouve dans la grange de Jean-Luc.
Au travail ce jour (matin et/ou après-midi, par ordre alphabétique) : Aurélien, Bruno, Camille, Christian, Colombine, Jean-Benoît, Jean-Luc, Jérôme, Louis, Marc R., Matthias, Maxime, Michel, Pascal, Richard, Rudy, Stéphane.
Par un temps exécrable (froid, vent, neige, pluie, verglas), nous sommes d’abord allés au n° 77 de la rue Haute-Baive, charger les branches et quelques bûches d’un feuillu. Equipe restreinte au début mais qui s’est étoffée petit à petit dans le courant de la matinée. Je me rends compte que j’ai de grandes difficultés à grimper et descendre de la remorque (aux hautes ridelles), même à l’aide d’une échelle (en alu et glissante de givre).
Puis, nous descendons chez Jacques, où il fait quand même un peu meilleur, à l’abri de la haie. Une haie de sapins à couper et charger, dont certains assez hauts, nécessitant la corde et l’entaille. Tout se passe bien. A midi, chaleureuse pause assez longue chez notre « client » du jour ; Jean-Luc nous rejoint.
Après-midi, on continue le travail qui est presque terminé quand il est temps de rapatrier le charroi, vers 17 h.00. Nouvelle pause chez Jacques et Mirella avec dégustation de la galette des Rois que nous apportent Coco et Lory et traditionnel vin chaud.
Tout compte fait, c’est pas si désagréable de travailler à la Corpo !
Au travail ce jour (matin et/ou après-midi, par ordre alphabétique) : Aurélien, Bruno, Camille, Jacques, Jean-Luc, Louis, Matthias, Maxime, Rudy, Vincent .
Christine, Coco et Lory, le soir avec ravitaillement.