Compte rendu 2015/4: Samedi 10 janvier 2015 : ramassage des sapins de Noël.

Christine, Richard, Marc, Camille, Jonas, Maxime, Jean-Luc, Louis, …

Vents violents, peu de pluie en journée, abondante à partir de 16h.30.

Matériel : tracteur de Jean-Luc, plateau avec chalettes de Karl C., plateau de Laurent G., plateau de Jacques B., voitures de Marc, Camille, Louis, 2 remorques de Richard/Jean-Pierre.

10 heures : ramassage sur Liernu.

Vers l’ouest (les Baives) : tracteur et plateau avec chalettes : Louis, Richard, Christine. Camille avec voiture et remorque fait les écarts. Tout se passe bien : vent très fort d’ouest, Christine, qui arrange la charrée, cale les premiers sapins récoltés contre la chalette arrière ; rue d’Allouville-Bellefosse, petite goutte réconfortante chez Raymond, pour Camille et Louis (soft pour Richard et Christine) où on charge les 70 fagots confectionnés par Mathieu. On apprend que Marc s’est embourbé à « Grand A » en poursuivant ses sapins. Camille vole à son secours. Nouvelle petite goutte (soft pour Richard et Christine) un peu plus loin, rue Haute-Baive.

Vers l’est : Marc avec voiture et remorque : bien que seul, c’est o.k. pour lui, sauf qu’un violent coup de vent emporte 4 ou 5 sapins sur plusieurs centaines de mètres dans les champs, où il s’embourbe ! Il s’en sort avec l’aide de Camille.

Vers midi, on se rejoint tous au parking où on complète le plateau avec les contenus des remorques de Camille et Marc. Vin chaud et autres chez Christine.

14.30 heures : ramassage sur Saint-Germain.

Tracteur et plateau de Jacques B.: Jean-Luc, Maxime, Christine, Richard. : rue du Stampia, Libut, Nouveau Chemin, rue Ernest Montulet. Marc et Jonas , avec voiture et remorque : rues à gauche de la route de Perwez ; Camille et Louis avec voiture et remorque : rues à droite. Petit incident : sur la route d’Eghezée, en direction Numa, un sapin s’envole et va se caler contre une voiture qui suivait : a priori pas de dégats à la voiture (ni au sapin). On transvase le contenu des remorques sur le plateau posté depuis la veille chez Ernest, le coiffeur, à Liernu. On complète ce plateau avec le tas d’Ernest. Petite bière quand c’est fini. Puis, grosse averse de pluie. On rejoint l’autre équipe (celle du tracteur avec plateau ; tout le monde suit ?) chez Marcel à Saint-Germain qui nous reçoit traditionnellement à cette époque avec bière et eau de Villée. Remise de petits cadeaux. Marc et Jonas vont encore chercher quelques sapins invendus au Patro des Boscailles. Puis on se retrouve chez Marc : chips, saucisses sèches, frites et Leffe brune au fût.

Fini pour cette journée pleine d’entrain, venteuse et harassante (surtout le soir !).

Compte rendu 2015/3: Samedi 03 janvier 2015.

Christine, Richard, Marc, Camille, Jonas, Julien, Louis, …

Pluie et/ou neige incessantes, boue, gadoue, pataugeoire,  glissade, chutes … Quand je suis arrivé le matin sur le terrain, chez Thibaud, je me suis dit qu’on ne ferait pas grand-chose dans ces conditions. Et d’ailleurs, qui allait venir ?

Et pourtant : après quelques minutes, presque tous les habitués étaient là ! Et d’attaque ! Sur la journée, une dizaine de (gros) sapins furent abattus, ébranchés, les branches chargées sur une remorque et les troncs, en partie débités sinon tractés vers la rue à l’aide de mon petit M-F 135. Petit incident cependant : le dernier arbre de la journée n’a pas voulu tomber dans la direction qu’on lui suggérait mais s’est étalé, la tête dans le champ voisin.

A midi, percés jusqu’aux os, vin chaud chez Christine ; le soir, percés … (non, nous nous étions d’abord séchés et changés) : vin chaud chez Christine.

Bilan : 1 charrée de branchages (finalement, peu de branches vertes sur ces grands sapins) et beaucoup de troncs entiers ou débités ; et beaucoup de lessive en perspective. Bonne ambiance de travail quand même mais on espère avoir meilleure météo les prochains samedis.

Compte rendu 2015/2 : Entre Noël et Nouvel an : Erection du mat

Ah, ces sacristains, organiste et autres élites paroissiales !

Vendredi 26 décembre 2014.

Marc, Camille, Richard, Jonas, Jean-Luc, Louis.

Au matin, dans la gadoue, on creuse le trou destiné à recevoir le mât central. C’est-à-dire qu’on retire les anciens éléments encore enfouis dans le sol à l’emplacement du mât : au moins deux pieds d’anciens mâts en partie calcinés, des buches et pointes ayant servi au calage, des pierres et briques et quelques pelletées de terre. Quand tout es retiré, le trou fait environ 1 mètre carré de surface et 1,20 mètre de profondeur ! Il va falloir recombler ce volume quand le nouveau mât y aura été érigé.

L’après-midi, toujours dans la gadoue, on prélève ce nouveau mât chez Tibaud, à la Basse-Baive : il est bien droit, assez effilé et fait environ 12 mètres. On abat encore quelques sapins pour en faire le trépied, les 6 mâtons et les 6 poussards. Mais on n’a pas fini, il faudra revenir demain matin.

Le soir, changement de décor : c’est le souper de la Corpo, au café de l’Eglise, à Aische-en-Refail. Là, ce sont plutôt les estomacs qui sont bien arrosés et le bruit des tronçonneuses remplacés par les chants, parfois paillards. Ah, ces sacristain, organiste et autres élites paroissiales ! Enfin bref, certains terminent la fête aux environs de trois heures : ça promet pour la ponctualité le lendemain !

Samedi 27 décembre 2014.

Christine, Coraline, Marc, Camille, Richard, Jonas, Tom, Jean-Luc, Louis. (mais pas tous à la même heure !)

On coupe encore, au même endroit, quelques sapins pour compléter les matériaux dont on a besoin. A midi, on rapatrie le tout, sur une remorque-plateau, vers le site du futur bûcher. Malgré l’état super boueux du sol, on amène la lourde remorque jusqu’à destination. On décharge d’abord les mâtons, poussards et éléments du trépied. Puis on fait pivoter le mât, toujours sur la remorque, de façon à ce que son pied se trouve à l’arrière de celle-ci, en porte à faux au-dessus du trou. Au moyen de quatre longues cordes et en faisant reculer la remorque, on parvient alors, sans trop d’efforts, à redresser le mât. On le cale ensuite dans sa position à l’aide de bûches, de pierres et de terre tout en veillant à sa verticalité parfaite. A 13 heures, l’érection est terminée.

L’après-midi (à partir de 15 heures), sous les chutes de neige, on consolide le mât en lui accolant de gros segments de troncs de trois mètres formant trépied. On termine par la pose des 6 mâtons et des 6 poussards qui délimitent le pourtour du futur bûcher. On clôture la journée par un vin chaud réconfortant et bien mérité chez Richard.

L’armature du bûcher est prête. Il reste à y entasser tout le combustible que l’on va récolter pendant un mois et demi.

Compte rendu 2015/1 : on se remet au boulot !

Samedi 13 décembre 2014.

13 décembre ! : fête de la Sainte Lucie (ou Luce) ! Ce nom dérivant du latin « lux » qui signifie « lumière ». Première fête de la lumière : on commence à soupçonner le début de la fin du tunnel des ténèbres de l’Hiver !

En effet, ce 13 décembre, le soleil arrête de se coucher le soir de plus en plus tôt : 16 h. 37’ et quelques secondes est son heure limite ; quelques jours plus tôt, c’était 16h. 38’ ; quelques jours plus tard, ce sera également 16h. 38’ et ainsi de suite, nous faisant gagner, chaque soir, quelques minutes ou quelques secondes de clarté. Pour se coucher à environ 16h. 41’, le jour de Noël, autre fête de la lumière. Tout ceci, malgré que le matin, le soleil se lève toujours de plus en tard (8h. 45’)  jusqu’aux environs du 4 janvier, date à laquelle ce mouvement s’inversera également.

Tout le monde a compris ?

Et c’est donc ce jour du 13 décembre qu’a choisi la Corporation pour commencer ses travaux, elle dont la mission première est de provoquer le retour de la lumière par la construction du bûcher et la mise à mort du « Blanc » personnification de l’Hiver et des ténèbres qu’il engendre.

Ce jour-là, étaient présents : Marc, Camille, Louis, Bruno, Tom, Samuel, Jonas … et deux moutons. (apparition de Jean-Luc, pour photos) Où ? juste en face du « Point Rond du Sureau ». Malgré les difficultés, les clôtures et le peu d’espace, on abat comme des chefs et ébranche trois gros sapins. On débite les troncs en « 50 cms » et on charge les branches sur une remorque. Remorque qui restera sur place jusqu’à la prochaine fois, probablement le samedi 3 janvier prochain.

Météo assez bonne, bonne ambiance de travail, bonne réception et encouragements de la maîtresse des lieux.

N.B. Chacun est bien sûr invité à émettre ses commentaires sur chaque texte paraissant sur notre blog. Merci

Compte-rendu 10 : samedi 01 mars 2014

Au matin, au bûcher.
(Christine, Colombine, Camille, Richard, Marc, Simon, Maxime, Louis)

En semaine, l’échelle a été commencée : il reste les ¾ des échelons à fixer. Les remorques vides ont été rapatriées chez leurs propriétaires respectifs. (Simon, Brandon, Louis).

Raymond et Mathieu amènent une charrée de petits fagots.

L’échelle est achevée. A l’aide d’une poulie fixée au mât central, elle est dressée contre le bûcher, les uns poussant, les autres tirant, de l’autre côté du bûcher.

Ensuite, le sommet est aménagé : fixation d’une palette au mât central et à l’échelle, fixation de quelques sapins derrière celle-ci, complétant le « nid » destiné à recevoir le « Blanc ».

Pendant ce temps, le terrain est nettoyé et le bûcher quelque peu « toiletté ».

Il est bien 13h30 quant tout cela est fini. Pause près du brasero.

Après-midi, au Grand Feu d’Aische-en-refail.
(Christine, Camille, Louis, Richard, Marc, Maxime, Jean-Luc)

On retrouve nos « cousins » d’Aische et les autres d’Emines, Perwez, Vedrin, Lonzée, …

Cortège dans les rues, puis aux flambeaux, feu d’artifice, mise à feu du bûcher et brûlage de la sorcière. Puis restauration bien arrosée et soirée aux « Calbassîs ».

Pour certain, fin de soirée sur une chaise, dans les bras de Morphée…

Compte-rendu 9 : samedi 22 février 2014

(Christine, Marc, Vlad, Richard, Camille, Louis, Max, Colombine, Lory, Jean-Luc, Samuel. Jonas, Mathieu et trois scouts en visite en fin de journée)

Les trois charrées encore en attente au non-rond-point ont été acheminées au bûcher durant la semaine et placées sur trois côtés de l’hexagone. La remorque métallique de Pierre, chargée en partie de palettes et de vieux déchets de bois a été conduite chez Louis. Les déchets ont été déchargés chez lui (pour le petit bûcher traditionnel).

Comme on est assez nombreux le matin, on entame, en deux équipes, les deux grosses charrées. Cela marche bien mais on n’a quand même pas fini pour midi.

A midi, pause vin chaud chez Richard et Jean-Marie.

Après-midi, la remorque métallique est amenée sur la Place et déchargée de ses palettes qui serviront de reposoir pour le « Blanc », le temps de sa condamnation.

Puis, on achève de décharger les deux grosses remorques et on entame la petite placée à l’arrière de bûcher.

Et pendant ce temps-là, le bûcher monte, se rétrécit quelque peu et monte, monte, … on arrive bientôt presqu’au sommet du mât central et les jeunes repiquent contre lui une perche de 2 ou 3 mètres pour l’allonger.

Vers 18 heures, le bûcher est déclaré assez haut et « terminé ». Pause !

La petite remorque n’est pas vide mais on brûlera le contenu restant après le Grand Feu.

Le combustible restant :

  • Une trentaine de fagots de Mathieu (chez Raymond) seront acheminés durant la semaine de carnaval et répartis autour du bûcher,
  • Le reste de branchages chez Jacques sera brûlé, probablement chez Louis, après le Grand Feu,
  • Chez Tibaud, s’il le désire, le reste de branchages sera brûlé sur place et le reste des rondins emportés et répartis entre les membres qui les veulent.
  • Le tas de branchages de Jean-Luc sera brûlé sur le site, après le Grand Feu.

Pour le bûcher, il reste à :

  • Fabriquer l’échelle et la dresser,
  • Aménager le sommet pour y recevoir le « Blanc » et le garnir de sapins.

Compte-rendu 8 : samedi 15 février 2014

(Richard, Louis, Camille, Marc, Jean-Luc)

Le jour des vieux ! les jeunes étant, me dit-on, en retraite : mystique pour les uns, éthylique pour d’autres, bretonne même ; ou tout simplement dans les bras de Morphée !

Temps idéal cependant : pas de pluie, peu de vent, bonne température.

En semaine, la fameuse « remorque au froment » a été placée, vide, le long du mur, vers la Place, en vue de recevoir, éventuellement, par-dessus-le mur, le contenu des remorques chargées, (tout en espérant ne pas devoir en arriver là !). La benne, elle, a été déchargée près du bûcher, malgré le terrain peu praticable.

Le matin, à deux puis à trois,  on bourre au pied du bûcher les restes du chargement de la remorque précitée.

L’après-midi (on est 5) on amène au bûcher une des quatre charrées en attente au « non-rond-point », que l’on décharge sur le bûcher. Puis on monte également sur le bûcher le contenu de la benne qui a été déchargée au sol.

En fin de journée, on a quand même nettoyé le terrain et monté au bûcher le contenu de la benne et d’une remorque ! Pas si mal pour les 5 « vieux » !

Pour les 3 autres remorques, on attendra encore quelques jours, la météo étant plutôt clémente pour l’avenir immédiat. Elles seront placées et prêtes à être déchargées pour samedi prochain.

Compte-rendu 7 : samedi 08 et dimanche 09 février 2014

Samedi 08

(Christine, Camille, Richard, Arno, Pascal, Simon, Marc, Louis)

On consacre cette journée à l’ancienne propriété de Vinciane, rue Basse-Baive, 37 et 39, où il reste quatre sapins costauds à abattre dont un araucaria (désespoir des singes).

Pascal vient nous prêter main forte avec son expérience et une tronçonneuse plus adaptée, ainsi que Arno. A eux deux, ils mettent au sol les quatre mastodontes,  à nous de les ébrancher et charger sur un plateau emprunté à Laurent G.

Les troncs sont débités, en grande partie par Arno qui viendra achever le travail dimanche matin. Les rondins seront distribués aux amateurs.

Quand le soir tombe, la remorque est chargée à bloc et … va rejoindre les 5 autres charrées qui attendent une meteo plus clémente (plus  de sécheresse ou du gel) pour être conduites au pied du bûcher.

Mais combien de temps faudra-il encore attendre ? Ne faudra-il pas faire fi des conditions atmosphériques et de l’état du terrain et Y ALLER ? C’est à ce prix, cela est de plus en plus évident, que pourra être achevé notre bûcher.

Dimanche 09

(Christine, Sophie L., Sophie G., Camille, Richard, Simon, Brandon, Baptiste, Timothée, Louis).

Emines , Carnaval du Dragon, voir la presse.

On y retrouve nos vieux compagnons, en particulier les Chevaliers d’Emines et nos cousins, les Pierrots d’ Aische-en-Refail. Tient, ils ont recruté un déserteur (?) de Vedrin.

Très beaux cortège, captivant spectacle des Orryflammes, feu d’artifice parfait et, enfin, grands feux (un pour les grands, un pour les petits) très réussis.

Des contacts sont pris en vue de l’animation de nos cortèges et Grand Feu à nous, le samedi 08 mars prochain.

Espérons que, d’ici là, notre bûcher sera terminé !

Compte-rendu 6 : samedi 01 février 2014

(Christine, Camille, Richard, Louis, Jonas, Samuel, Tom, Timothée, Sophie, Passage de Jean-Luc et Max à midi et pour photo : N.D. de Sclessin de plus en plus exigeante !)

Travail au bûcher, ce samedi.

Plutôt décevant le matin : pluie intermittente, donc très peu de participants : 4 !

Le brasero apporté a peine à démarrer : le bois n’est pas sec, l’huile de vidange n’en est pas vraiment. Finalement avec la graisse à frite de Richard et un peu d’essence (2 temps) des tronçonneuses, il ne s’éteint plus. Quant à dire qu’il réchauffe !

Finalement, c’est encore en travaillant qu’on se réchauffe le mieux et, quand les cloches sonnent la pause de midi, on a quand même, à nous quatre, pas mal avancé.

Le vin chaud de Jean-Marie est le bienvenu après cette matinée de grisaille (tiens, là nous ne sommes plus 4 , mais 7 !!)

L’après-midi est heureusement plus clément : plus de pluie, 5 personnes en plus, le brasero brûle très bien ; trop bien pour mes gants qui se mettent à cramer !

Quand le soir tombe, le site est nettoyé (sauf le fond de la remorque qui est sur place) et le bûcher accuse une hauteur de 2,50 à 3 mètres.

Espérons que pour samedi prochain la météo nous aura permis d’acheminer les 5 charrées en attente.